Si je suis devenu un généalogiste successoral en 2001, c’est un peu par hasard. J’habitais à l’époque en France où j’ai pris contact avec la plus grande sur le marché français étude de généalogie - la Société COUTOT-ROEHRIG SA de Paris.
J’ai eu la chance d’apprendre le métier à côté des meilleurs spécialistes de la branche qui resteront toujours mes mentors et modèles de professionnalisme. Ils m’ont transmis leur passion pour ce que je fais aujourd’hui. Il y a encore d’autres atouts dans mon “arsenal professionnel”, ce sont mes études de droit que j’ai faites en Pologne à l’Université Jagellonne et la connaissance du russe, du latin et de l’allemand (en ces langues sont rédigés les actes d’état civil du 19e et du début du 20e siècles, que j’ai souvent à vérifier). De plus, j’aime rencontrer les gens et écouter leurs histoires. Chaque affaire successorale est différente, parfois triste, parfois amusante, mais toujours intéressante.